Chez le concurrent Airtel Rwanda, Gisele Umugwaneza, la responsable de la réglementation, déclare que pour la société télécoms, « les problèmes d’identification et d’échange de carte SIM sont une préoccupation majeure. Nous travaillons en étroite collaboration avec les autorités réglementaires afin d’aider au mieux les clients potentiels, victimes d’actes criminels et d’empêcher que ces crimes ne se reproduisent ». Elle a indiqué qu’Airtel Rwanda attend actuellement l’approbation de l’Autorité de réglementation des services publics (RURA) pour déployer la biométrie.
Dans la loi sur la réglementation de l’identification des abonnés, publiée en juillet 2017, la RURA avait créé un sous-comité chargé d’étudier l’introduction de la biométrie dans ce processus de sécurisation des télécommunications.
Source : Agence Ecofin