La Banque Commerciale du Congo est le banquier de référence en RDC depuis 1909. Elle connaît, comprend et mesure les besoins de financement des principaux opérateurs économiques et met à leur disposition des compétences éprouvées au niveau international.
M&B. Pouvez-vous nous parler de votre banque et de ce qui la rend si singulière ?
Yves Cuypers. Dans le secteur bancaire congolais, la BCDC hérite d’une longue tradition d’éthique des affaires depuis plus d’un siècle. Nous employons 536 collaborateurs et disposons de 40 points d’exploitation, dont 27 agences et 13 guichets avancés. Nous avons aussi noué un partenariat avec Western Union dans le métier du transfert d’argent, avec 32 guichets actifs sur le territoire national. Grâce à l’importance de notre capital humain et à l’étendue de note réseau, nous sommes capables de répondre au développement financier de notre clientèle dans les zones de croissance économique, avec un total de bilan en 2016 équivalent à 635,8 millions d’USD et une contribution au financement de l’économie congolaise à hauteur de 314,2 millions d’USD.
Les débuts d’un banquier
Un banquier confirmé doublé de la casquette d’analyste financier et crédits et bénéficiant d’une large expérience sur des produits bancaires variés et multiples. Dès ses débuts à la Générale de Banque, devenue aujourd’hui BNPPARIBASFORTIS, Yves Cuypers a réalisé un parcours « sans faute » avant de prendre en main les destinées de la Banque Commerciale Du Congo, en décembre 2003, en qualité de Directeur général et président du comité de direction.
Un banquier entre deux continents
Homme de consensus et de dialogue, Yves Cuypers est parvenu, depuis une dizaine d’années, à conduire l’éléphant qu’est la BCDC. Avec son comité de direction, il a su lui donner un nouveau positionnement malgré une conjoncture économique nationale et internationale morose. Sa grande expérience, les acquis de son passé de financier forgés lors de son passage dans l’industrie en qualité de directeur financier du groupe HERSTAL SA (Belgique) et ses responsabilités de directeur des crédits puis de directeur général commercial banking, à la BELGOLAISE, sont certainement pour beaucoup dans cette réussite.
Retrouvez l’integralité de nos entretiens dans le Mining and Business hors série Spécial Banque et Assurance.
https://bit.ly/39TRkH4
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