Comment avez-vous atterri chez Brasimba ?
Après mes études secondaires à l’institut MAADINI, je me suis rendue en Belgique, d’où je suis revenue avec le diplôme de fiscaliste et le titre d’expert-comptable. Brasimba m’a recrutée en 1991 en tant que comptable. Depuis 2012, j’y occupe le poste de secrétaire général.
Pourriez-vous nous présenter Brasimba en quelques mots ?
La Brasimba est une société anonyme (sa) créée en 1925. Aujourd’hui nous faisons partie du groupe CASTEL avec deux sites de production, à Lubumbashi et Beni, ainsi que sept centres de distribution. Brasimba produit et commercialise des bières et des boissons gazeuses.
Quelles actions fortes Brasimba a-t-elle mises en œuvre ?
La société a développé un circuit de vente en dehors de grandes villes, cela permet à la population congolaise d’accéder plus facilement à nos produits. Malgré les infrastructures déficientes, on n’a pas pu se rendre au fin fond de la province du Katanga par exemple. Cela dit, nous sommes tout de même rendus à Lwisha, Kansenga, Kilwa, Kashobwe et Mpweto ; nous avons vraiment été dans les périphéries pour rendre nos produits accessibles.
Comment peut-on changer les mentalités pour lutter contre le sexisme ?
Le changement des mentalités passe par des initiatives pour promouvoir l’égalité entre les sexes. Il peut s’agir d’interviews, comme celle que vous m’accordez, ou des conférences liées au développement de la femme, ainsi que toutes les initiatives qui peuvent renforcer sa promotion.
Comment valorisez-vous les femmes chez Brasimba ?
À Brasimba, vous pouvez retrouver des femmes dans tous les domaines d’activité. La Brasimba est même un levier du développement de la femme. Vous retrouvez des femmes dans toutes les directions, dans le domaine administratif, dans le domaine technique et dans le domaine commercial. Brasimba contribue modestement à l’épanouissement de la femme sur continent, elle la galvanise, et lui permet d’aller plus loin.
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