Une étude sur la plus vaste population étudiée au monde, démontre que les personnes vaccinées de 50 ans et plus ont neuf fois moins de risque d’être hospitalisés ou de mourir du SARS-CoV-2 que les non vaccinés.
Cela, jusqu’à cinq mois après avoir reçu une seconde dose.
Les études ont porté sur les effets des trois principaux vaccins qui sont ou ont été utilisés en France, Pfizer, Moderna et AstraZeneca. « En conditions de vie réelle, ces trois vaccins montrent une efficacité comparable et très élevée, sur un nombre très important de sujets . Cela, quel que soit l’âge à partir de 50 ans. De plus, cette efficacité se maintient dans le temps, sans montrer de baisse sur les quatre à cinq mois de suivi », confirme Mahmoud Zureik, directeur d’Epi-Phare et professeur d’épidémiologie et de santé publique à l’université de Versailles-Saint-Quentin (France).
Par ailleurs , ces deux analyses ont été réalisées sur un total de 22,6 millions de personnes. Ce sont « les études épidémiologiques analysant l’efficacité “en vie réelle” des vaccins qui portent sur le plus grand nombre de personnes dans le monde », précise Antoine Flahault, professeur d’épidémiologie et directeur de l’Institut de santé globale à Genève.
Cette étude de taille parviendra -t-elle à rassurer les réfractaires à la vaccination?
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