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Financement de 20 millions USD de la BAD pour lancer les travaux d’infrastructures de la Zone Economique Spéciale de Maluku

Le Gouvernement de la République Démocratique du Congo (RDC) a bénéficié d’un financement de vingt millions de dollars américains de la Banque Africaine de Développement (BAD) pour lancer les travaux de la Zone économique spéciale (ZES) de Maluku, à Kinshasa.

Le Gouvernement de la République Démocratique du Congo (RDC) a bénéficié d’un financement de vingt millions de dollars américains de la Banque Africaine de Développement (BAD) pour lancer les travaux de la Zone économique spéciale (ZES) de Maluku, à Kinshasa.

Julien Paluku, ministre congolais de l’Industrie a annoncé, au cours de l’émission « Redevabilité » consacrée au bilan de l’an 1 du Gouvernement Sama Lukonde, que le gouvernement congolais a bénéficié d’un financement de la BAD.

« Nous avons finalement pu obtenir, grâce aux appuis budgétaires de la BAD, 20 millions USD. Cet argent, c’est pour commencer les travaux d’infrastructures à l’intérieur de la zone : route, eau, électricité », a indiqué le ministre de l’Industrie.

Selon ses explications, le gouvernement de la RDC a signé un contrat avec le développeur qui s’était engagé à mobiliser 83 millions de dollars américains en faveur des travaux de la Zone économique spéciale.

Les travaux de la Zone économique Spéciale de Maluku ont connu un début d’exécution difficile suite au désistement de la Banque mondiale qui s’était engagée en premier lieu pour financer à hauteur de 27 millions USD les travaux d’infrastructures à l’intérieur de la zone.

Julien Paluku a fait savoir qu’un appel d’offres a été lancé et des entreprises ont été sectionnées pour la construction des infrastructures de l’eau potable et d’électricité dans la zone.

Ce vaste projet consiste à attirer les investisseurs et par la suite soutenir la croissance économique génératrice d’emplois, dans l’optique de réduire la pauvreté. La Zone économique et Spéciale de Maluku concerne dans son ensemble 885 hectares (ha), dont 244 hectares réservés à la zone pilote.

M&B

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