in

Copperbelt Updates avril 2016

Zambie

  • D’ici à 2018, Glencore investira plus de 1,1 milliard de dollars dans la Zambie en vue du fonçage de trois puits de mine de cuivre à l’aide d’une nouvelle technologie. Cette procédure prolongera de plus de 25 années la durée de vie de la mine.
  • Le Département zambien des parcs nationaux et de la vie sauvage a participé au Grand recensement des éléphants, le premier recensement panafricain des éléphants en 40 ans. Selon une observation aérienne des éléphants de Zambie, le nombre d’éléphants est stable dans certaines régions, mais des efforts continus sont nécessaires pour lutter contre le braconnage.
  • Un Protocole d’accord a été signé en mars par la ministre zambienne de l’Énergie, Dora Siliya, et par son homologue mozambicain, Pedro Couto, dans le cadre de la construction d’une centrale au CHARBON en Mozambique visant à générer 1 200 mégawatts d’électricité, dont la Zambie bénéficiera. Le Protocole d’accord s’inscrit dans le cadre d’un ensemble d’accords bilatéraux qui ont été signés en vue d’améliorer les secteurs de l’énergie, de l’agriculture et des transports.
  • En mars, le Gouvernement zambien a annoncé qu’il lancera une nouvelle politique agricole en avril visant à promouvoir le développement du secteur. La politique, qui couvre la période de 2016 à 2021, fera partie du Plan national d’investissement agricole (PNIA) révisé du pays.
  • FIRST Quantum Minerals (FQM), par l’intermédiaire de la Trident Foundation, s’est fixée pour objectif de distribuer 1 000 bureaux aux écoles locales d’ici au milieu de l’année 2016, dans le cadre de ses efforts visant à améliorer la qualité de l’éducation dans la région.
  • La 3e édition de la Foire commerciale et conférence sur les mines de la ceinture cuprifère (Copperbelt Mining Trade Expo & Conference) a ouvert ses portes le 12 mai 2016 à Kitwe. Cet événement s’adresse aux fournisseurs, fabricants, distributeurs et utilisateurs finaux dans les secteurs des mines, de l’industrie, de la production d’électricité et de l’eau.

RDC

  • Tiger Resources prévoit d’augmenter sa production, en passant d’une capacité nominale de 25 000 t/an à une capacité de 32 500 t/an, par le biais du processus de dégoulottage. Le processus nécessitera un investissement en capital de 25 millions de dollars US, et on estime que le coût d’exploitation moyen au cours de la durée de vie de la mine sera d’environ 1,27 $/lb. Ce processus permet à la société d’augmenter sa production annuelle de 30 % tout en minimisant les dépenses d’investissement. Tiger Resources finalise actuellement tous les contrats dans le cadre du programme de dégoulottage, et la société envisage de démarrer ses activités de construction en mars et de les achever au cours du quatrième trimestre de 2016.
  • À ce jour, Alphamin a reçu 4 millions de dollars et 3 millions de dollars de la part de l’IDC, et le versement final de 3 millions de dollars sera effectué sous réserve du processus indépendant d’examen et d’approbation par des pairs d’une étude de faisabilité définitive (EFD), que la société prévoit de recevoir au cours du deuxième trimestre de 2016.
  • Le couvert forestier dans la RDC s’étend sur une surface de 1,55 million de km2 – représentant environ un dixième de ce qui reste des forêts tropicales dans le monde. En janvier, le ministre de l’Environnement, de la Protection de la nature et du Développement durable, Robert Bopolo Mbongeza, a déclaré que « des mesures sont en cours » pour lever le moratoire sur l’octroi de nouvelles concessions d’exploitation industrielle forestière imposé en 2002. Ces mesures risquent d’ouvrir de vastes étendues de la deuxième plus grande forêt tropicale humide au monde à une multitude de menaces, depuis les plantations d’huile de palme et de caoutchouc jusqu’à une exploitation forestière généralisée.
  • Des élections sont prévues pour novembre dans la RDC. L’opposition craint que le Président Joseph Kabila, qui est supposé quitter ses fonctions en décembre, n’ajourne les élections afin de rester au pouvoir. Samantha Power, l’ambassadrice des États-Unis aux Nations Unies, a déclaré au Conseil que la société civile au Congo est menacée et que « les processus démocratiques sont délibérément affaiblis ».

Données compilées par Africa Point Group en fonction des nouvelles et des informations disponibles au 30 mars 2016.

www.africapointgroup.com

FB : Africa Point Group

This post was created with our nice and easy submission form. Create your post!

Les prévisions de suppression de 1 300 emplois par ENRC au Congo soulignent la fragilité du secteur de la sous-traitance

Chambre des mines: la situation du secteur minier en RDC demeure critique