Une manière de maintenir la pression après la décision prise quatre mois plus tôt par le patron de l’IGF, Jules Alingete Key, de bloquer les importations de la Sicomines, une joint-venture composée notamment de la Gécamines (20 % du capital)
Révision du «contrat du siècle», respect du code minier, fin des exploitations illégales… Kinshasa met la pression sur les entreprises minières chinoises pour imposer des accords plus équitables et renflouer les caisses de l’État.